

ICONE LA VIERGE ET LES MYSTERES DU ROSAIRE - XX° - 10,5*15cm
Fabricant : Monastère Martigné-Briand
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Proposé par
Monastère Martigné-Briand
Référence MBMV2
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ICONE COLLEE LA VIERGE ET LES MYSTERES DU ROSAIRE - XX° -10,5*15cm (format carte postale)
Depuis près de 60 ans, notre Atelier est spécialisé dans la fabrication de reproductions d’icônes collées sur bois.
Le bois utilisé, la technique de collage éprouvée, les petits clous dorés, le soin de la finition et la notice explicative donnant pour les icônes deux niveaux de présentation (simple et approfondie) ont fait la réputation de nos productions.
Au dos de chacune icône une attache en cuir vous permettra de l’accrocher, mais vous pouvez aussi la disposer sur un porte icône.
Dans notre monde en quête du sens de la vie, le monastère se veut un lieu de prière et de paix, dans la louange et l’accueil, dans le quotidien du travail et de la vie fraternelle.
Nous souhaitons que cette icône soit pour vous source de paix et de grâce, qu’elle vous aide à prier, et soit témoin auprès de vous de la présence vivifiante de Dieu qui s’est fait homme pour nous rendre participants à sa Vie.
Dimensions : 10,5*15cm (format carte postale)
Cette icône contemporaine a été peinte en 1993 par l’iconographe catholique Jacques Bihin. S’inspirant d’une composition iconographique traditionnelle (un saint entouré de petits tableaux illustrant des scènes de sa vie), le peintre a étendu celle-ci à la Mère de Dieu. Pour relater les événements principaux de la vie de la Vierge, il a repris le Rosaire qui médite le Mystère de l’Incarnation et le rôle qu’y joue la Mère de Dieu.
Le Rosaire comprend quinze “ mystères ” regroupés en trois séries : 5 mystères joyeux, 5 mystères douloureux, 5 mystères glorieux dont les deux derniers ne sont pas mentionnés dans le Nouveau Testament mais font depuis longtemps partie de la Tradition de l’Eglise.
Un seizième tableau complète la composition : l’hospitalité d’Abraham. En Genèse 18,1-15, trois anges apparaissent à Abraham. Les Pères de l’Eglise y ont vu une préfiguration de l’Incarnation : Dieu s’est donné à voir et à rencontrer sous la forme de personnages mystérieux, en attendant de se faire homme Lui-même. L’image centrale de la Vierge tenant l’Enfant dans ses bras et “ méditant tous ces événements ” atteste que le Mystère s’est accompli.
L’art sacré oriental ne s’est jamais coupé de ses racines mystiques et liturgiques. L’icône – d’un mot grec signifiant image – n’est pas un simple tableau religieux ; on ne peut la recevoir en-dehors de l’Eglise, de sa vie et de sa foi. Si aujourd’hui on rencontre un peu partout des reproductions d’icônes, il ne faut jamais oublier qu’elles sont des images saintes, offrant à la vénération des fidèles orthodoxes le message évangélique. Parfois appelées “ théologie en image ”, elles disent le contenu de la foi qui se résume dans l’adage lapidaire des Pères de l’Eglise : “ Dieu s’est fait homme pour que l’homme devienne Dieu ”.
L’écriture de l’icône est un acte spirituel auquel l’iconographe se prépare dans la prière et normalement le jeûne ; une série de lois en garantit l’authenticité théologique, sans pour autant faire disparaître le génie propre de chaque artiste.
Objet liturgique, l’icône est vénérée parce qu’au travers du support matériel, le croyant contemple le mystère représenté.